Encore… Oui Encore Belle-Maman !!!!

Les semaines passent et rien n’aurait pu me faire penser que belle-maman aurait ne serait-ce qu’une idée derrière la tête concernant une hypothétique relation… Pourtant, à force d’insister, avec beaucoup de patience, je l’ai eue…A l’usure peut-être, je ne sais pas, mais je l’ai eue…
J’avais toujours encore ce phantasme qui me traversait le corps et l’esprit… Il n’avait jamais cessé de brûler en moi et je ne pouvais pas passer une journée sans penser au moins un petit moment à elle… Belle-Maman…. Et malgré que je ne trouve pas que tu sois une belle femme, tu m’attires. Malgré que tu sois la mère de ma femme, je ne rougis pas lorsque j’envie ton corps. Malgré que tous les interdits nous séparent, je te désire si fort !!!
Tout a commencé avec whatsapp et facebook… Je t’ai envoyé je ne sais combien de messages, le plus innocemment possible d’abord, puis toujours plus canalisés, toujours plus centrés sur les hommes et les femmes, les relations intimes, les secrets, les histoires coquines, les rêves érotiques…
Ca a pris des mois, je n’y croyais évidemment plus mais je fantasmais toujours, quotidiennement !
Après des mois de petites boutades, de titillement spirituel, de harcèlement subtil, je viens finalement chez toi te montrer comment changer les cartouches de ton imprimante. Je te propose un après-midi où ta fille travaille, les s sont à la crèche, ton copain se prépare pour vos vacances et moi, malgré le travail, je me « dévoue » pour venir te montrer tout ça…
Je sonne à l’interphone, tu ne dis rien et j’entends le cliquetis électrique de la porte. J’entre, je prends l’ascenseur, arrive enfin à l’étage et tu es à la porte, tu m’attends, rayonnante, séduisante, et souriante.
Moi : « Bonjour Belle-Maman ! Comment vas-tu ? »
B-M : Eh bien bonjour beau-fils, répondit-elle en souriant de plus belle !
Moi : Je te remercie de m’accueillir pour le dîner, je ne savais pas trop où manger puisqu’il n’y a personne à la maison… Dis-moi, tu t’es mise sur ton 31 pour moi ? Tu es ravissante !!!
B-M : Merci pour le compliment… mais ça me fait plaisir de cuisiner un peu pour toi ! Et en plus, tu viens aussi pour m’aider avec cette fichue imprimante, je peux bien te faire à manger en contrepartie !
Moi : Pas de souci, si je peux aider c’est toujours un plaisir belle Belle-Maman !
B-M : Arrête voyons, je ne suis pas vraiment belle, je suis vieille et pleine de rides !
Moi : Ah non, tu ne vas pas recommencer avec ces histoires d’âge et de complexes, tu es tellement bien conservée et au top de ta forme… Sans mentir, je suis sûr que tu as un meilleur physique que moi ! Il n’y a pas photo, vraiment !
B-M : Tu me dis ça pour me faire rougir, je me vois tous les jours dans le miroir tu sais, je vois bien les marques du temps sur mon visage.


Moi : Oui, je peux comprendre que cela te rende triste mais ces marques sont belles et gracieuses et si tu es honnête, tu sais très bien que pour ton âge, tu es une femme superbement conservée, et désirable…
B-M : Je n’irais pas jusque là, petit don juan… Mais merci, tes compliments sont flatteurs.
Moi : Ce ne sont pas des compliments en l’air, je le pense sincèrement, tu es magnifique, ce n’est pas pour rien que je t’appelle sans cesse belle Belle-Maman !
B-M : Tu es chou, arrête après je vais rougir…
Moi : Rougis alors, je suis certain qu’un peu empourprée tu es encore plus jolie !
B-M : Alors, tu veux manger d’abord ou regarder cette imprimante ?
Moi : Je ne veux pas repousser à plus tard mes tâches mais j’ai vraiment faim, si tu es d’accord mangeons d’abord, tu veux bien ?
B-M : Ok !
Nous nous mettons à table et discutons de choses et d’autres, de banalités… Mais je ne cesse de la complimenter et lui rappeler à quel point elle est jolie à mes yeux… A la fin du repas, je me lève pour l’aider à débarrasser puis nous allons dans sa petite chambre où se trouve l’imprimante. Nous allumons son lap top puis j’imprime un document pour voir si les cartouches sont bien vides. C’est bien le cas alors je lui demande les cartouches de remplacement. J’ouvre le boîtier et lui montre comment changer une des cartouches. Ensuite je lui demande de faire pareil pour la deuxième. Elle s’y prend maladroitement mais elle y parvient facilement…
Moi : Tu vois que c’est facile, tu n’avais pas besoin de moi !
B-M : Oui mais je ne voulais pas faire faux et au moins voir une fois comment faire juste avant de le faire moi-même, tu comprends ?
Moi : Oui, pas de souci, on va réessayer une impression pour voir si tout fonctionne… Tu as un document que tu dois imprimer ?
B-M : Oui, attends que je le retrouve… je dois fouiller un peu dans mes e-mail…
Moi : Tiens, tu as une nouvelle photo de toi… Tu es encore plus belle sur celle-ci… Imprimons cette photo, tu veux bien ? Tu rechercheras tes e-mails une autre fois…
B-M : Rôoo, ma photo ? Bon si tu veux…
Moi : Regarde, je ne mens pas, tu es exquise, un visage souriant, on te donne en tout cas 10 ans de moins, et ton corps, il est mieux conservé que celui de ta fille… Je ne blague pas !
B-M : Arrête tes compliments gratuits tu veux ! Je suis une vieille grand-mère toute ridée… Et tu vois, tout pend, mes fesses, mes seins…
Tout en décrivant ce qu’elle trouvait disgracieux sur son corps, elle montrait et soupesait ces zones détendues par le temps comme pour prouver qu’elle avait raison… Emoustillé par la vision de Belle-Maman qui se touche les fesses et les seins, me voilà au moment charnière où je sens que tout peut basculer… Mais j’ai tellement peur de tenter quoi que ce soit que je reste tétanisé.
Elle me regarde en souriant avec ses mains portant sa poitrine et je me fais violence car il faut que je reprenne mes esprits et ne pas montrer mon émoi… Je sens d’ailleurs d’un coup monter en moi cette douce chaleur et ce désir pour elle que je n’ai cessé de cacher durant toutes ces années par peur…
Moi : Oh stop ! Tu veux rire ? Ils sont superbes tes seins ! Généreux, une taille parfaite, ni trop gros, ni trop petits… Parfaits !
B-M : Tu te trompes mon cher, ils n’ont plus de forme et ils pendent… Si tu les voyais sans soutien-gorge, tu pourrais voir que je ne te mens pas !
Moi : Même sans soutien-gorge je suis persuadé qu’ils sont parfaits… Et je te mets au défi de me prouver le contraire.
B-M : Tu ne veux tout de même pas que je te les montre, ça va pas la tête ???
Moi : Tu vois, tu ne veux pas admettre que j’ai raison !
B-M : Mais ça n’a rien à voir, je ne vais pas te montrer mes seins et c’est tout !
Moi : Ca veut dire que j’ai raison, alors accepte au moins ça bon sang…
Dans le feu du moment, puisant je ne sais où l’énergie et le cran, je m’approche d’elle et tend la main vers cette poitrine qu’elle vient juste de relâcher… Je soupèse son sein gauche du bout de la main et lui dit : Regarde, ils sont parfaits !
B-M : Oh… coquin… Mais…
Tellement surprise de ce geste, elle ne trouve ni la réaction, ni les mots adéquats pour réagir à mon geste déplacé. Elle bredouille des sons sans vraiment vouloir dire quelque chose !
Moi : Tu vois, tu ne sais plus quoi dire, c’est bien que j’ai raison !
Et pour accen mes dires malgré le caractère bizarre de la situation, je refais une nouvelle fois le même geste vers son sein droit… Elle ne bouge plus…
B-M : Oh, doucement tout de même, ça a beau pendre, c’est fragile !
Moi : Oh pardon belle Belle-Maman, je ne voulais surtout pas te faire mal ! Je suis désolé… Ca va ?
Joignant le geste à la parole, je prends délicatement son sein dans ma main et le malaxe avec douceur comme pour soulager une douleur inexistante.
Et je reprends pour marquer mon insistance sur le fait que sa poitrine est superbe : Parfait, j’avais raison !
B-M : Tu veux bien arrêter ça…
Prise de je ne sais quelle folie, elle ouvre son chemisier et fait passer ses deux seins par-dessus les balconnets de son soutien-gorge en dentelle et surenchérit : Tu vois, ils sont vieux et pendants, je te l’avais bien dit !!! Tu l’as bien cherché…
Moi : Oh mon dieu ! Je ne pensais pas avoir raison à ce point ! En plus d’avoir encore bonne tenue, tes aréoles sont superbement dessinées et tes tétons sont généreux. Parfaits, j’avais raison !
B-M : Quoi ? Tu trouves vraiment ??? Tu n’es pas normal, franchement, regarde…
Moi : Non, si je regarde trop longtemps je vais perdre mes moyens et tout sens du bien et du mal pour finir par ne plus me contrôler !!! Regarde belle Belle-Maman, sérieusement… Puis je pince délicatement son sein droit entre mon pouce et mon index ce qui a pour effet de le faire se dresser. Son aréole s plisse légèrement et se rétracte tandis que ce délicieux téton durcit… Emoustillée par la situation, ses seins ne semblent plus être le sujet principal au moment où je vois son regard se figer sur mon entrejambe qui s’est inévitablement gonflé. On voit désormais sans équivoque possible la forme de mon sexe devenu dur et volumineux au travers de mon pantalon…
B-M : Oh, mais ce sont mes seins tout pendants qui te ont cet effet ???
Moi : Bien sûr puisque je te dis qu’ils sont parfaits… Et pour tes fesses, je suis convaincu que c’est pareil dis-je sans relâcher son téton mais en passant l’autre main sur ses fesses. Geste qui m’oblige à me rapprocher encore un peu plus d’elle. Je suis d’ailleurs presque en train de l’enlacer tellement je suis près ! Mon émoi devient insupportable, je sens ma bite prête à exploser me faire presque mal dans mon jeans et mon désir qui ne cesse de grandir…
B-M : Mais je suis une vieille dame, tu ne peux pas ressentir cela, en plus je suis la mère de ta femme, il ne faut pas…
Je me penche vers son oreille et lui chuchote alors : Chuut… Ne dis plus rien ! Tu es magnifique et voici le secret que je ne peux plus garder… Je te trouve tellement désirable, regarde…
Puis je sors mon sexe de sa prison et lui pose dans le creux de sa main avant de prendre ses deux seins dans les miennes.
Je me penche un peu plus et dans un silence presque insoutenable, je prends un téton dans ma bouche, je l’aspire, le titille du bout de la langue… Sa main s’active et fait maintenant de petits gestes d’aller-retour décalottant mon gland à chaque mouvement de recul. Je bande comme un âne, à ce train-là, je vais jouir dans la main de Belle-Maman !!! Je m’approche d’elle, passe mes bras autour d’elle et vient placer mes mains sous ses fesses. Je l’attire vers moi et la soulève délicatement pour l’emmener dans sa chambre, juste à quelques pas de là. Elle ne dit toujours rien et doit se douter que nous avons franchi le cap du non-retour. Je la fais basculer doucement en arrière et me laisse aller avec elle… Je suis couché sur elle, la bite qui ressort de mon slip et elle les seins à l’air… Je décide donc de continuer de l’effeuiller puisqu’à présent, en plus du silence, elle ne fait plus aucun geste de refus… Au contraire… Lorsque j’ouvre son chemisier, bouton après bouton, lentement, je la vois prendre l’initiative d’ouvrir elle-même son pantalon et le faire glisser sur ses jambes en prenant soin d’embraquer aussi sa culotte… La voici nue sur son lit et moi à côté qui lui caresse une cuisse alors que j’ai repris un de ses seins entre mes lèvres. Cette caresse donne le coup de grâce aux dernières retenues que nous aurions encore pu avoir, elle ouvre ses cuisses pour laisser à ma main la place de remonter jusqu’à son minou alors que tout en continuant mes caresses, elle m’aide à me dévêtir à mon tour. A genou à côté d’elle, c’est elle qui prend l’initiative et gobe délicatement mon gland avant de me pomper comme la grosse coquine que j’ai toujours imaginé sans jamais oser y croire vraiment ! Elle me suce divinement, pompant, aspirant ma queue comme si elle voulait l’avaler, l’enfonçant profondément dans sa bouche puis jouant avec sa langue sur mon gland… Je ne sais pas comment je me retiens encore car je suis hyper excité et sa langue me fait vraiment grimper aux rideaux… Je me retire donc de sa caresse pour ne pas jouir tout de suite et subir l’horrible creux que les hommes ont après avoir joui.
Je me place entre ses cuisses et à mon tour de lui prodiguer les plaisirs oraux que j’affectionne tout particulièrement. Découvrir son sexe (que je me suis imaginé des milliers de fois en me branlant) me laisse dans un état second. Je n’aurais jamais pu croire qu’il était si beau et me donnerait autant envie de le dévorer. Malgré une certaine pilosité, il sent plutôt bon le désir et ses lèvres généreuses et toute mouillées me ravissent carrément. Je pose donc ma bouche sur son pubis, tire ma langue et la fait aller doucement entre elles alors qu’avec mes doigts, j’écarte doucement le passage pour découvrir enfin son bouton d’amour. Et là, quel bonheur de voir un clito plutôt gros et ultra-sensible se dresser en haut de cette fente baveuse et délicieuse. Je le prends alors entre mes lèvres et le suce délicatement car je sens son corps entier se trémousser et être pris de soubresauts à chaque coup de langue sur son clito… Mhhh je ne m’arrête pas car je sens qu’elle apprécie et ça me rend fou de bonheur… Je lui enfonce alors un… puis deux doigts, toujours en léchant sa fente, son clito et ses grandes lèvres. Je les agite un peu et je sens alors sa main se poser sur ma tête comme pour me supplier d’arrêter… Connaissant bien ce que peut engendrer mon geste, je suis sûr qu’elle veut me préserver car elle doit être fontaine comme je pouvais l’imaginer… Et le résultat ne se fait pas attendre, j’agite mes doigts un peu plus fort et un jet de plaisir jaillit de la moule de Belle-Maman alors qu’elle pousse un cri de plaisir qui brise le silence qui nous tenaillait jusqu’à présent ! Je reprends alors mes caresses buccales et lui son clitoris. Elle gémit de plus belle et une seconde vague de plaisir vient inonder ma bouche. Je recrache ce liquide, m’essuie le menton, me redresse, la regarde fixement et toujours sans un mot, place mon gland à l’entrée de cette caverne de feu dégoulinante. Au moment même où je m’enfonce en elle, je l’entends alors lâcher un long « ohhhh ouiiiii » que je confirme d’un râle rauque et discret. Je vais et viens désormais dans cette moule poilue et détrempée. Elle est très accueillante et ma queue coulisse librement en elle. Je la regarde encore, je vois ses seisn bouger au rythme de mes coups de reins et cette fois c’est moi qui brise le silence et lui dit : « Oh Belle-Maman, pourquoi est-ce que j’ai attendu aussi longtemps ? C’est trop bon !!! » Elle réplique timidement en me disant : « Chuuut, surtout cela doit rester notre secret à tout jamais, hein ? » Puis de rajouter en se caressant le clitoris pendant que je la pénètre :
B-M : Oh, tu vas me faire jouir Beau-Fils…
Moi : Ah oui ? Alors viens Belle-Maman, viens !!!
B-M : Ahhh Ohhh plus fort… Plus vite, viens…
Moi : Oui, je vais jouir tout au fond de toi… Donne-moi tout, maintenant… Belle-Maman, VIENS…. Ahhhhh
Je m’allonge alors sur elle en missionnaire et la pilonne comme une machine. Nos corps claquent l’un contre l’autre et nos sexes font un bruit de clapotis tellement elle est détrempée… Elle sort sa langue comme pour supplier de l’embrasser alors que ses doigts s’agitent sur son clito. Je ne me fais pas prier et la prend dans ma bouche pour lui rouler une pelle toute baveuse de son jus. Je sens ma que gonfler, Belle-Maman gémit tout en entortillant sa langue autour de la mienne et je me raidis, me cambre et crache enfin mon sperme en grosses giclées puissantes au fond de sa chatte qui convulse et dégouline de plaisir… MMmmmhhhh quelle jouissance forte, incroyable…
Une fois nos esprits retrouvés elle m’embrasse encore et me dis :
B-M : Tu es un amant hors pair, je n’avais plus joui comme cela depuis bien longtemps…
Moi : Et moi je me suis tellement imaginé cet instant depuis toutes ces années que j’ai du mal à croire que c’est vrai !!!
B-M : Ah bon ? Tu phantasmes sur moi depuis longtemps ? Vraiment j’ai du mal à comprendre que tu puisses être attiré par une vieille femme toute flétrie ???
Moi : Flétrie ? Tu vas pas bien ? Regarde comme tu es belle et désirable (je lui caresse encore les seins et passe ma main entre ses cuisses encore entrouvertes et dégoulinantes). Alors oui, ça fait plus de 5 ans que je me caresse en pensant à toi… Tu es dans beaucoup de mes pensées érotiques.
B-M : Ah oui ? A ce point ?
Moi : Oui, à ce point… Et tu m’excites encore alors que je viens de jouir, regarde, ma queue est de nouveau au garde à vous !
B-M : Tu en voudrais encore ? Dit-elle en se penchant pour me sucer… Me faisant redevenir aussi dur qu’avant en quelques coups de langues. Tiens, j’ai une idée…. Viens là ! Puis elle se met à 4 pattes devant mon sexe et écarte ses petites fesses pour me dévoiler son cul !
Moi : Ah, oui tu la veux ici ? Dis-je en posant mon gland sur son œillet qui visiblement n’allait pas servir pour la première fois pour le plaisir de Belle-Maman…
B-M : Oui, Vas-y doucement d’abord…
Moi : Comme ça ? En appuyant et en m’enfonçant dans son cul millimètre par millimètre…
B-M : Oh oui… Encore…
Moi : Eh bien tu es décidément plus ouverte que ta fille…
B-M : Ah bon ? Elle n’aime pas ça ?
Moi : Non !
B-M : Alors vas-y, plus vite ! Fais-moi encore jouir mon gengre chéri…
Moi : Comme ça Belle-Maman ? Alors que je commence à aller et venir de manière plus virile, plus rapide et plus profonde…
B-M : Oui, oh oui…
Je lui défonce alors littéralement le cul, je la lime sans relâche à un rythme de plus en plus élevé. Elles crie désormais à chaque coup et est venue s’aider d’une main entre ses cuisses, se doigtant la moule pendant que je l’encule. Je sens ses doigts en elle et je ne vais pas tarder à jouir…
Moi : Belle-Maman, c’est divin, je vais jouir encore une fois
B-M : Oui, moi aussi, encule-moi, vas-y encore plus fort, défonce-moi !
Je n’aurais jamais pu imaginer que des mots tels que ceux-là pouvait sortir de la bouche de ma Belle-Mère, j’en revenais pas et ça m’excitais encore plus…
Moi : Ca y est… Je viens… Mmmmhhh Belle-Maman, comme tu es une bonne cochonne, si j’avais su ça plus tôt, si seulement…
Elle se cambre et pousse son cul contre moi en criant et moi je me raidis et déverse le fruit de ma deuxième jouissance au fond de son cul…
Peut-être une suite ou un autre récit si vous me donnez vos avis…

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